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Mohammed, A.; Ahmed, S. A.; Oluwole, O. P. & Avidime, S. Résumé Arrière-plan : Les tumeurs malignes du système génital féminin sont commune et affectent généralement la jeune femme. Malheureusement le cancer du col de l'utérus pourtant évitable, reste la cause majeur de mortalité et morbidité lie au cancer. Méthode : Ceci est une analyse rétrospective, de 1993 - 2003, des tumeurs malignes du système génital féminin vues au Département d'Anatomie Pathologie du centre Hospitalier Universitaire Ahmadu Bello Teaching Hospital, Zaria. Les données utilisées ont étaient récupérées de la banque des données du Département d'Anatomie Pathologie. Résultats : Sur 513 cas récupères, 77% étaient des cancers du col de l'utérus et étaient les plus commun. Ceci étaient suivi par les cancer de l'utérus (10.1%), et des tumeurs des ovaires (8.4%). Les cancers du vagin et de la vulve étaient rares. Un cas d'adénocarcinome de la trompe de Fallope qui représente 0.2% a été observé. Les types les plus commun des cancer du cal de l'utérus étaient les carcinome squameux (89.5%). Le cancer de l'utérus le plus fréquent était le choriocarcinome (57.7%), alors que l'adénocarcinome papillaire cystique était le plus commun des cancers des ovaires, suivi par cancer granuleux (20.9%). Un cas de lymphome de Burkitt ,2.3%, a été observé. Le cancer de l'utérus et du col de l'utérus sont fréquent durant la cinquième décade, alors que ceux des ovaires apparaissent à la quatrième décade de vie. Conclusion : le cancer de col de l'utérus était la tumeur maligne la plus fréquente de cette étude. Heureusement il est évitable si un frottis cervical est fait avec suivi. Les gouvernements africains devraient établir des campagnes et des centres de détection du cancer du col de l'utérus. Mots Clés Système génital féminin, tumeur maligne

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Malignant Tumours of the Female Genital Tract in Zaria, Nigeria: Analysis of 513 Cases Mohammed, A.; Ahmed, S. A.; Oluwole, O. P. & Avidime, S. Abstract Background: Female genital tract malignant tumours are common tumours that affect mainly the young female population. Unfortunately, the preventable carcinoma of the cervix is still the leading cause of cancer morbidity and mortality. Methods: This is a retrospective histopathological analysis of female genital tract malignant tumours diagnosed over an eleven-year period (1993 - 2003). The information required was retrieved from histology bench books and request cards. Results: In an analysis of 513 cases in Zaria, 77% were carcinoma of the cervix and this was the commonest. This was followed by the corpus uteri (10.1%), and ovarian tumours (8.4%). Tumours of the vagina and vulva were uncommon. One case of adenocarcinoma of the fallopian tube which accounted for 0.2% was noted. The commonest type of cervical cancer was squamous cell carcinoma (89.5%). Choriocarcinoma (57.7%) was the most common tumour of the corpus uteri and among ovarian tumours; serous papillary cystadenocarcinoma was the commonest (25.6%), followed by malignant granulosa cell tumour (20.9%). One case of ovarian Burkitt's lymphoma which accounted for 2.3% was noted. Malignant tumours of the corpus uteri and the cervix are more common in the fifth decade, while ovarian tumours are commoner in the fourth decade of life. Conclusion: Carcinoma of the cervix was the commonest malignancy encountered in this study. Fortunately it is preventable by the routine Pap smear. Therefore governments of African countries should establish and sustain such screening centres. Keywords Female genital tract, malignant tumour

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