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Annals of African Medicine
Annals of African Medicine Society
ISSN: 1596-3519
Vol. 9, No. 3, 2010, pp. 118-122
Bioline Code: am10029
Full paper language: English
Document type: Research Article
Document available free of charge

Annals of African Medicine, Vol. 9, No. 3, 2010, pp. 118-122

 en Premenstrual dysphoric disorder among medical students of a Nigerian university
Issa, Baba A.; Yussuf, Abdullah D.; Olatinwo, Abdul Waheed O.. & Ighodalo, Martin

Abstract

Background/Objective: This study aimed at estimating the prevalence and associated factors of premenstrual dysphoric disorder (PMDD) among medical students in a University in the North-Central State of Nigeria. PMDD is the severest form of premenstrual symptoms and is associated with impairment of social and role functioning.
Methods: A cross-sectional study of female medical students of the University of Ilorin College of Health Sciences (n=208), which involves completing a questionnaire to elicit socio-demographic and gynecological information as well as the GHQ-12 questionnaires. They were later interviewed with DSM-IV PMDD instrument.
Results: Seventy-five (36.1%) of the respondents met the criteria for the diagnosis of PMDD. Sixty-five (%) of the PMDD cases reported having pain during menses among whom 14 (21.5%) reported mild, 32 (49.2%) moderate and 19 (29.2%) severe form of menstrual pain. Forty-two persons (20.2%) were categorized as having probable psychiatric morbidity using a cut-off of ≥ 3 on GHQ 12. There was neither a causal relationship between psychiatric morbidity (≥ 3 score), and PMDD, nor any association between gynecological factors and PMDD. However, menstrual pain was significantly associated with PMDD (P=0.019).
Conclusion: The rate of PMDD in this study is high. Dysmenorrhoea of moderate/severe intensity correlated significantly with the possibility of having PMDD. Efforts should therefore be made to alleviate the pain associated with menses. In addition, the College′s health-care providers should take into account the issues of dysmenorrhoea and its management more seriously by intensifying health education on dysmenorrhoea and PMDD in order to improve the quality of life of the students.

Keywords
Dysmenorrhoea, medical students, premenstrual dysphoric disorder

 
 fr
Issa, Baba A.; Yussuf, Abdullah D.; Olatinwo, Abdul Waheed O.. & Ighodalo, Martin

Résumé

Contexte/Objectif: Cette étude visait à estimer la prévalence et les facteurs associés de trouble dysphorique prémenstruel (PMDD) parmi les étudiants en médecine dans une université dans le nord-centrale de l’État du Nigéria. Le PMDD est la forme la plus sévère des symptômes prémenstruels et est associée à une insuffisance de fonctionnement social et rôle.
Méthode: Une étude transversale d’étudiantes en médecine de l’Université d’Ilorin Collège des sciences de la santé (n = 208) ont rempli un questionnaire visant à obtenir des informations socio-démographiques et gynécologiques, ainsi que le GHQ-12 questionnaires. Ils ont ensuite été interrogés avec le PMDD-DSM-IV instrument.
Résultats: Soixante-cinq (36,1%) des répondants ont rempli les critères pour le diagnostic du trouble dysphorique prémenstruel. Soixante-cinq (%) des cas de trouble dysphorique prémenstruel ont déclaré avoir des douleurs pendant les règles, parmi lesquels 14 (21,5%) avaient doux, 32 (49,2%) modérées et 19 (29,2%) ont déclaré forme sévère de douleurs menstruelles. Quarante-deux personnes (20,2%) ont été classés comme ayant une morbidité psychiatrique probables en utilisant un seuil de ≥ 3 sur le GHQ 12. Il n’y avait ni lien de causalité entre la morbidité psychiatrique (score ≥ 3), et le PMDD, ni aucune association entre les facteurs gynécologiques et PMDD. Toutefois, des douleurs menstruelles était significativement associée à trouble dysphorique prémenstruel (P = 0,019).
Conclusion: Le taux de PMDD dans cette étude est élevé. Dysménorrhée modérée / intensité sévère corrélation significative avec la possibilité d’avoir le PMDD. Des efforts doivent donc être faits pour atténuer la douleur associée aux menstruations. En outre, la santé du Collège des prestataires de soins doivent prendre les questions de la dysménorrhée et de sa gestion plus au sérieux par l’intensification de l’éducation sanitaire sur la dysménorrhée et PMDD en vue d’améliorer la qualité de vie des étudiants.

Mots Clés
Dysménorrhée, étudiants en médecine, trouble dysphorique prémenstruel

 
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