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African Crop Science Journal
African Crop Science Society
ISSN: 1021-9730 EISSN: 1021-9730
Vol. 9, No. 1, 2001, pp. 331-338
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Bioline Code: cs01064
Full paper language: English
Document type: Research Article
Document available free of charge
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African Crop Science Journal, Vol. 9, No. 1, 2001, pp. 331-338
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Changes in African Smallholder Agriculture in the Twentieth Century and the Challenges of the Twenty-First
Carr, S.J.
Abstract
The first half of the twentieth century witnessed profound changes in smallholder
agriculture in many parts of Africa. There was a rapid spread of exotic staple
food crops such as maize, cassava and sweet potatoes. In many cases the adoption
of these crops led to increases in productivity as they replaced millets and
sorghum. In addition the development of new trade routes opened the way to a
remarkable expansion in the production of traditional and exotic export crops.
There was also a more limited uptake of introduced technologies such as ox-ploughing.
In many cases the move into cash cropping resulted in changes in the farming
system. These occurred in situations where the growing of perennial crops or
access to markets encouraged people to abandon a truly shifting cultivation
for a more static lifestyle. A striking feature of these developments was the
speed at which many of these major innovations were adopted by large numbers
of smallholders. This undermined the theory that African smallholders were basically
conservative. The changes and production increases of the first part of the
century were followed by the static situation of the past forty years. Despite
the introduction of fertiliser, new varieties and intensive research and extension
efforts there has been little progress in raising yields, preserving soil fertility
or maintaining per capita production of food and cash crops. It is these issues
which present the major challenges for the coming century.
Keywords
Cash cropping, changes in productivity, exotic crops, smallholder farmers
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Carr, S.J.
Résumé
La moitié du vingtième siècle a vu des changements profonds
dans l' agriculture du petit exploitant dans plusieures régions de l'Afrique.
Il y eut des expansions des cultures alimentaires exotiques tels que
le maïs, le manioc, et la patate douce. Dans plusieurs cas l' adoption
de ces nouvelles cultures a conduit à l' augmentation de la productivité
en remplaçant le millet et le sorgho. En plus le développement
des nouvelles voies de commrce ont ouvert le chemin pour une expansion remarquable
dans la production des cultures traditionnelles et des cultures exotiques d'
exportation. Il y eut aussi plus de limites d'intrats des technoloies introduites
telles que la culture attelée. Dans plusieurs cas la tournure vers des
cultures de revenu a provoqué des changements des systèmes culturaux.
Ceci est apparu là où on pratique des cultures perraines ou l'accès
au marché a encouragé la population a abandonné la culture
itinérante pour plus de style de vie statique. Une caractéristique
remarquable de ces développements est la vitesse à laquelle quelques
de ces innovations ont été adoptées par un grand nombre
de petits exploitants. Ceci a ébranlé la théorie stipulant
que les petits exploitants africains étaient principalement conservateurs.
Les changements et les augmentations de productions de la première moitié
du siècle ont été suivis par une situation statique des
quarante années passées. Malgré l' introduction des engrais,
des nouvelles variétés, l'intense recherche et les efforts de
vulgarisation, il eut très peu de progrès dans l 'augmentation
de la production, la conservation de la fertilité du sol ou le maintien
de la production alimentaire et des cultures de revenu par capita. Ces sont
ces questions qui constituent le défi du siècle à venir.
Mots Clés
Culture de revenu, chagement de la productivité, cultures exotiques, petits exploitants fermiers
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