Dans une étude conduite en Tanzanie en 1999,
Rhizopus oryzae
qui causa une decomposition lente était identifié comme le pathogène majeur après récolte de la patate douce (
Ipomea batatas) en stock. Les variations en susceptibilité de la variété au pathogène étaient aussi observées. Dans cette étude, le rôle du contenu en sucre de la racine des tubercules était évalué et comparé à la variation en susceptibilité de la variété au pathogène, le fructose, le glucose et le contenu total en sucre dans les racines des variétés de la patates douce influencés par la variété de
R. Oryzae. Les concentrations de ces sucres dans les raciness étaient significative mais correlées négativement avec la susceptibilité au
R. Oryzae. Ces resultants suggerent la possibilité d'utilizer le contenu en sucre des raciness pour selectionner les variétés de patate douce resistant au
R. Oryzae.