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African Crop Science Journal
African Crop Science Society
ISSN: 1021-9730
EISSN: 1021-9730
Vol. 19, No. 3, 2011, pp. 165-172
Bioline Code: cs11016
Full paper language: English
Document type: Research Article
Document available free of charge

African Crop Science Journal, Vol. 19, No. 3, 2011, pp. 165-172

 en Environmental system analysis of tomato production in Ghana
Eshun, J.F.; Apori, S.O. & Oppong-Anane, K.

Abstract

Tomato ( Lycoperscicum lycopersicum check for this species in other resources ) production in Ghana is characterised by low yields and high fertiliser input. This is compounded in the long run by production shocks due to environmental pressures such as drought, pests and diseases. Tomatoes among other vegetables are more susceptible to these biotic constraints than other crops. Chemical pesticides and, to a limited extent, integrated pest management practices have been applied to control the pests and diseases but with limited success. Pesticides use has been ineffective, leading farmers to apply high dosages. The aim of this study was to identify the most important sources of greenhouse gases, acidifying and eutrophying compounds associated with tomato production in Ghana and identify options to reduce the environmental impacts. Life Cycle Analysis (LCA) methodology was used in the analysis (Cradle to gate approach). The inventory analysis involved collection of data on raw material, energy consumption and emissions. From the results, it was revealed that approximately 8,544 kg CO2-equivalents of greenhouse gas was emitted per hectare of tomato production in Ghana. Among the three main components of greenhouse gases, CO2, CH4 and N2O, N2O accounted for the highest value followed by CO2. When we considered the activities that generated greenhouse gases, fertiliser application ranks the first with a share of 97%. The total hectare acidifying emissions from SO2 and NOX were calculated to be 19.50 kg SO2 –equivalent. When we considered the result in terms of actual and SO2 equivalent, emission of NOX was larger than that of SO2. About 211.50 kg PO4 equivalent of eutrophying compounds was found to be discharged per hectares. With regards to options to reduce environmental impact of tomato production in Ghana, practices that recover investment cost and generate a profit in the short term are preferred over practices that require a long term to recover investment costs: practices that have a high probability associated with expected profits are desired over practices that have less certainty about their returns.

Keywords
Acidification, eutrophication, greenhouse gases, Lycoperscicum lycopersicum

 
 fr
Eshun, J.F.; Apori, S.O. & Oppong-Anane, K.

Résumé

La production de la tomate ( Lycoperscicum lycopersicum check for this species in other resources ) au Ghana est caractérisée par de bas rendements et une utilisation élevée de fertilisants. Ceci résulte à la longue en une perte de productions, par suite des pressions environnementales à savoir la sécheresse, les pestes et maladies. Parmi d’autres légumes, les tomates sont plus susceptibles à ces contraintes biotiques que d’autres cultures. Les pesticides chimiques, et, dans certaines limites, la gestion des pratiques intégrées de la peste a été appliqué pour contrôler les pestes et maladies mais avec un success limité. L’utilisation des pesticides a été inefficace, poussant les fermiers à appliquer de fortes doses. L’objectif de cette étude était d’identifier les sources les plus importantes de gaz à effets de serre,des composés acidifiants et eutrophiants associés à la production de la tomate au Ghana et identifier les options pour réduire les impacts environnementaux. La méthode d’analyse du cycle de vie (LCA) était utilisée dans l’analyse (Cradle to gate approach). L’analyse de l’ inventaire concernait la collecte des données sur le matériel brut, la consummation et l’émission de l’ énergie. De ces résultats, il était révélé qu’approximativement 8,544 kg CO2-equivalents de gaz à effets de serre était émis par hectare de production de tomate au Ghana. Parmi les trois principaux composants de gaz à effet de serre, CO, CH et NO, le gaz NO présentait de valeurs les plus élevées suivi par le CO. En considérant les activités générées par les gaz à effet de serre, l’application des fertilisants se range le premier avec une part de 97%. Le total des émissions acidifiantes par hectare issue de SO2 et NOX étaient évalué à 19.50 kg SO2 –equivalent. En considérant le résultat en terme d’actuel et equivalent SO2, l’émission de NOX était plus large que celle de SO2. Environ 211.50 kg PO4 equivalent de composés eutrophiants étaient émis par hectare. Pour ce qui est des options visant à réduire l’impact environnemental de la production de tomate au Ghana, les pratiques recouvrant le coût d’investissement et générant un profit à court terme sont plus préférées que les pratiques où le recouvrement coût d’investissement est à long terme: les pratiques à profitabilité élevée, associées aux profits attendus sont les mieux désirés que les pratiques avec bénéfice incertain.

Mots Clés
l’acidification, de l’eutrophisation, gaz à effet de serre, Lycoperscicum lycopersicum

 
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