La diversité du haricot commun (
Phaseolus vulgaris
) L. a été développé par des communautés de fermiers en Ouganda et, en retour, la culture a durablement contribué au bien être familial pendant plus de quarante ans. Malgré des efforts considérables des fermiers dans la perpétuation de cette diversité, la compréhension de sa situation et dynamique en champ reste limitée. Cette étude a évalué le nombre et la situation de la diversité des cultivars dans des communautés sélectionnées en milieux rural et péri-urbain de l’Ouganda central. Les données d’étaient collectées de façon raisonnée dans 120 ménages à travers une enquête de ménage, les groupes de discussions et des observations directes sur terrain. Des mesures de diversité, la situation des cultivars et la différenciation morphologique étaient estimées par l’index de diversité de Simpson (1-D), quatre analyses de cellules et l’analyse de groupes, respectivement. Un total de 24 cultivars était observé dans toute l’étude, et toutes les deux communautés avaient une richesse égale de cultivars. Aucune différence significative n’était trouvée dans le nombre de cultivars maintenu par les fermiers ruraux et péri-urbains. Les deux communautés avaient un nombre substantiellement invariant de cultivars (0.81 et 0.82 en milieu rural et péri-urbain, respectivement), malgré que 19% seulement des cultivars étaient cultivés relativement sur des vastes étendues et par plusieurs ménages. De façon impressionnante, au moins 30% des ménages dans chaque communauté avaient développé différents types de cultivars. Ceci démontre le besoin de mettre en place des mécanismes d’encouragement des communautés afin de continuer la conservation en milieux paysan de la diversité du
P. vulgaris pour assurer son évolution continue et l’adaptation au changement des facteurs biotiques et abiotiques.