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HETEROSIS AND COMBINING ABILITY FOR RELATED TRAITS IN TOMATO KATHIMBA, F.K.; KIMANI, P.M.; NARLA, R.D. & KIRIIKA, L.M. Abstract Tomato ( Solanum lycopersicum L.) yields have continued to plummet in Kenya due to biotic stresses and reliance on low yielding varieties. This study aimed at determining heterosis and combining ability for fruit yield and yield components among tomato genotypes and select F1 hybrids combining high fruit yield and other market demanded traits under Kenyan conditions. Ten parental genotypes and their 45 F1 hybrids were studied using 10×10 half diallel mating design, excluding the reciprocals and the self’s. The experiment was set up in Kiambu and Kirinyaga Counties in Kenya. Out of 45 F1 hybrids evaluated, 89% had reduced (negative heterosis) days to 50% flowering and 11% days to maturity, compared to their better parents. Higher heterosis (-9%) was recorded on days to flowering in AVTO1429 x Cal J VF) and -5% for maturity in Roma VF x AVTO1314. All the F1 hybrids had positive heterosis for number of trusses per plant and fruit yield. F1 hybrid AVTO1429 x AVTO1314 had the highest positive heterosis of 114.39% for fruit weight per plant yield. The results showed high significant difference among the ten genotypes for general and specific combining ability effects (male x female) for all the traits evaluated. There was additive and non-additive gene action for the traits, which are important aspects in developing a tomato breeding programme. Keywords Gene action; heterosis; Solanum lycopersicum; trusses

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KATHIMBA, F.K.; KIMANI, P.M.; NARLA, R.D. & KIRIIKA, L.M. Résumé Les rendements de la tomate (Solanum lycopersicum L.) ont continué de chuter au Kenya en raison des stress biotiques et de la dépendance aux variétés qui donnent le faible rendement. Cette étude visait à déterminer l’hétérosis et à combiner la capacité de rendement en fruits et les composants de rendement parmi les génotypes de tomates et sélectionner des hybrides F1 combinant un rendement élevé en fruits et d’autres caractéristiques demandées par le marché dans les conditions kenyanes. Dix génotypes parentaux et leurs 45 hybrides F1 ont été étudiés à l’aide d’un plan d’accouplement 10 × 10 demi-diallèle, à l’exclusion de la sélection récurrente réciproque et autofécondation. L’expérience a été mise en place dans les comtés de Kiambu et Kirinyaga au Kenya. Les 89 % de 45 hybrides F1 évalués avaient des jours réduits (hétérosis négatif) à 50 % de floraison et 11 % de jours jusqu’à maturité, par rapport à leurs meilleurs parents. Une hétérosis plus élevée (-9 %) a été enregistrée sur les jours précédant la floraison chez AVTO1429 x Cal J VF) et -5 % pour la maturité chez Roma VF x AVTO1314. Tous les hybrides F1 avaient une hétérosis positive pour le nombre de grappes par plante et le rendement en fruits. L’hybride F1 AVTO1429 x AVTO1314 présentait l’hétérosis positive la plus élevée de 114,39 % pour le rendement en poids de fruit par plante. Les résultats ont montré une différence significative élevée entre les dix génotypes pour les effets de capacité de combinaison généraux et spécifiques (mâle x femelle) pour tous les traits évalués. Il y avait une action génique additive et non additive pour les traits qui sont des aspects importants dans le développement d’un programme de sélection de tomates. Mots Clés action des gènes; hétérosis; Solanum lycopersicum

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