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ABOYOUSEF, H.A.; ABU SHOSHA, A.M.; EL-SHAHED, H.M. & DARWICH, M.M.B. Résumé Le maïs jaune (Zea mays L.) est l’une des principales sources d’alimentation animale en Égypte. Les programmes nationaux de maïs utilisent une méthodologie conventionnelle de sélection des cultures, qui dépend du développement de lignées consanguines de maïs à partir de variétés à pollinisation libre ou d’autres sources hétérogènes. L’objectif de cette étude était d’évaluer la capacité de combinaison générale et spécifique de neuf lignées consanguines de maïs jaune et de leurs croisements pour le rendement en grain et d’autres caractères morphologiques, dans les conditions égyptiennes. Neuf nouvelles lignées consanguines de maïs jaune, dérivées de différentes sources de maïs jaune, ont été croisées dans un schéma d’accouplement semi-diallèle au cours de la saison estivale 2020, à la station de recherche agricole de Gemmeiza, dans le gouvernorat de Gharbia, en Égypte. Les 36 croisements résultants, ainsi que deux hybrides témoins commerciaux (SC 168 et Pioneer SC 3444), ont été évalués à trois endroits, à savoir les stations de recherche agricole de Gemmeiza, Mallawy et Sids du Centre de recherche agricole (ARC), au cours de la saison estivale 2021 en Égypte. Dans l’ensemble, les effets additifs des gènes ont joué un rôle majeur dans l’hérédité des jours à 50 % d’apparition des soies, des hauteurs de plantes et d’épis ; tandis que les effets génétiques non additifs étaient principalement responsables du contrôle de l’hérédité du rendement en grain. Les lignées consanguines parentales (P1 et P2) possédaient des estimations négatives significatives (P <0,05) des effets de la GCA pendant des jours jusqu’à 50 % de soyage vers la précocité. Les meilleurs combineurs généraux étaient les lignées consanguines P2 et P6 pour la hauteur des plantes et des épis, et ces lignées consanguines seraient de bons combinateurs pour la reproduction d’hybrides courts et le placement des oreilles basses. Les croisements (P1xP9 et P3xP4) ont eu des effets SCA souhaitables et ont nettement dépassé les deux contrôles. Mots Clés Effets génétiques additifs; capacité de combinaison

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DIALLEL ANALYSIS AMONG NEW YELLOW MAIZE INBRED LINES FOR GRAIN YIELD AND OTHER AGRONOMIC TRAITS ABOYOUSEF, H.A.; ABU SHOSHA, A.M.; EL-SHAHED, H.M. & DARWICH, M.M.B. Abstract Yellow maize ( Zea mays L.) is one of the important sources of animal feed in Egypt. The national maize programmes uses conventional crop breeding methodology, which depends on the development inbred lines of maize from open pollinated varieties or other heterogeneous sources. The objective of this study was to assess the general and specific combining ability for nine yellow maize inbred lines and their crosses for grain yield and other morphological traits, under Egyptian conditions. Nine new yellow maize inbred lines, derived from different yellow maize sources, were crossed in a half diallel mating scheme in 2020 summer season, at Gemmeiza Agricultural Research Station Gharbia Governorate in Egypt. The resulting 36 crosses, along with two commercial check hybrids (SC 168 and Pioneer SC 3444), were evaluated at three locations, i.e. Gemmeiza, Mallawy and Sids Agricultural Research Stations of the Agricultural Research Center (ARC), in 2021 summer season in Egypt. Overall, the additive gene effects played a major role in the inheritance of days to 50% silking, plant and ear heights; while the non-additive gene effects were mostly responsible for controlling the inheritance of grain yield. The parental inbred lines (P1 and P2) possessed significant (P<0.05) negative estimates of GCA effects for days to 50% silking towards earliness. The best general combiners were inbred lines P2 and P6 for plant and ear height, and these inbred lines would be good combiners for breeding to short hybrids and low ear placement. Crosses (P1xP9 and P3xP4) had desirable SCA effects and significantly out-yielded the two checks. Keywords Additive gene effects; combining ability

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