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Combined Inputs of Crop Residues and Fertiliser For Smallholder Maize Production in Southern Malawi Mwato, I.L.; Mkandawire, A.B.C. & Mughogho, S.K. Abstract Chronic shortage of food exists in Southern Malawi because of low maize (Zea mays L.) yields due, in large part, to soil fertility depletion. An approach to ameliorating soil fertility is strategic use of crop residues and mineral fertilisers. An on-farm experiment was conducted in two contrasting locations, Kasonga (9 farms) and Songani (8 farms) that examined the effects and interactions of applying fertilisers and crop residues to soils. Crop residues consisted of maize stover and soybean (Glycine max (L) Merr.) trash of four cvs. Bossier, Ocepara 4, Kaleya and Magoye that were obtained from a previous crop at each farm. Average organic N inputs ranged between 15 kg N ha-1 for maize stover and 74 kg N ha-1 for soybeans and fertiliser N inputs were 0, 20, 40 and 60 kg N ha-1 with small amounts of accompanying P (0-13 kg P ha-1). ANOVA of maize grain yield revealed significant effects of location (P<0.001), fertiliser addition (P<0.001) and crop residue type (P=0.002). Overall grain yields were much larger at Songani (2374 kg ha-1) than Kasonga (812 kg ha-1). Fertilisation resulted in maize yields ranging between 901 kg ha-1 with no fertiliser to 1955 kg ha-1 with addition of 60 kg N and 13 kg P ha-1. ANOVA of total N uptake by maize revealed highly significant effects of location and fertilisation (P<0.001) and a significant effect of residue type (P=0.02). Overall N uptake by maize was 19.6 kg ha-1 at Kasonga and 62.7 kg ha-1 at Songani. The highest N uptake resulted from maximum fertilisation and with residues of soybean cvs. Bossier and Magoye. Use of fertilisers and soybean residues proved an effective strategy to increase maize yields but further studies that examine the economics of these interventions are necessary. Keywords Crop rotation, Glycine max, maize stover, nutrient recycling, smallholder farming systems, soil fertility

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Mwato, I.L.; Mkandawire, A.B.C. & Mughogho, S.K. Résumé La pénurie chronique alimentaire existe dans le sud du Malawi à cause des rendements faibles du maïs (Zea mays L.) due en grande partie à l’épuisement de la fertilité du sol. Une approche à l’amélioration de la fertilité du sol est une utilisation stratégique des résidus des cultures et d’engrais mineraux. Un essai en milieu réed a été conduit dans deux localités défférentes, Kasonga (9 fermes) et Songani (8 fermes) pour examiner des effets et des interactions de l’application d’engrais et résidus de cultures sur les sols. Les résidus de cultures étaient des fanes du maïs et des ordures de soja (Glycine max (L) Merr.) de quatre cultivars, Bossier, Ocepara 4, Kaleya et Magoye qui’ étaient obtenus des cultures précédentes à chaque ferme. La moyenne des intrants d’N organique variait entre 15 kg N ha-1 pour les fanes du maïs et 74 kg N -1 pour le soja et les intrants d’engrais d’N étaient 0, 20, 40 et 60 kg N ha-1 avec une petite quantité accompagnante de P (0-13 kg P ha-1). ANOVA du rendement en grains du maïs a indiqué des effets significatifs de la localité (P<0.001), addition d’engrais (P<0.001) et du type de résidu de culture (P=0.002). Générallement les rendement en grains étaient les meilleurs à Songani (2374 kg ha-1)plus que Kasonga (812 kg ha-1). La fertilisation a conduit aux rendements en grains variant de 901 kg ha-1 avec sans engrais à 1955 kg ha-1 avec addition de 60 kg N et 13 kg P ha-1. ANOVA de la consommation totale d’ N pour le maïs a révélé des effets significatifs de localité et de fertilisation (P<0.001) et un effet significatif (P=0.02) du type de résidu. La consommation totale d’ N par le maïs était 19.6 kg ha-1 à Kasonga et 62.7 kg ha-1 à Songani. La consommation la plus supérieure d’N est provenue de la fertilisation maximale et avec les résidus des cultivars de soja, Bossier et Magoye. L’utilisation d’engrais et des résidus de soja ont prouvé un effet stratégique pour augmenter des rendements du maïs, cependant des études future examinant l’économie de ces interventions sont nécessaires. Mots Clés Rotation de culture, Glycine max, recyclage des éléments nutritifs, fanes du maïs, fertilité du sol, systèmes culturaux des petits agriculteurs

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