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African Crop Science Journal
African Crop Science Society
ISSN: 1021-9730
EISSN: 1021-9730
Vol. 7, No. 4, 1999, pp. 423-431
Bioline Code: cs99033
Full paper language: English
Document type: Research Article
Document available free of charge

African Crop Science Journal, Vol. 7, No. 4, 1999, pp. 423-431

 en Use of Wheat Straw, Soybean Trash and Nitrogen Fertiliser for Maize Production in the Kenyan Highlands
Okalebo, J.R.; Palm, C.A.; Gichuru1, M.; Owuor, J.O.; Othieno, C.O.; Munyampundu, A.; Muasya, R.M. & Woomer, P.L.

Abstract

Making best use of available crop residues is an important component of integrated nutrient management. A field study was conducted over two seasons (1997 and 1998) in Kenya that examined use of wheat straw, soybean trash and nitrogen fertiliser as nutrient inputs for maize (Zea mays L.) production. The organic inputs were applied at the rate of 2 t ha-1 per season and urea was added at rates of 0, 20, 40, 80 and 100 kg N ha-1 in an incomplete factorial treatment structure that also included a complete control (no inputs) and 80 kg N ha-1 as urea without organic inputs. Maize grain yield ranged between 751 and 6836 kg ha-1 with lowest yields observed in the treatment receiving wheat straw alone and higher yields associated with soybean residue incorporation and during the second, wetter growing season. The 1998 crop benefited from more favourable rainfall, providing grain yield increase of 141% above control treatment as a result of combining 2 t ha-1 soybean trash and 100 kg N ha-1 urea. The generally high yields from soybean trash are explained in terms of its higher quality, faster decomposition and nutrient release compared to the lower quality wheat straw. A positive effect in increases of soil pH, C, N and P status as a result of cumulative use of crop residues was observed. Larger yields were obtained when organic and inorganic inputs were applied to soils, particularly when soil moistue was adequate and the organic inputs higher in mineralisable nutrients. Early indications of additional longer-term benefits through soil quality improvement were also measured. These findings suggest that better use may be made of crop residues than the burning following harvest as is currently practiced by many farmers in this area of western Kenya.

Keywords
Crop residues, East African highlands, integrated nutrient management, smallhold farming systems, soil fertility, urea

 
 fr
Okalebo, J.R.; Palm, C.A.; Gichuru1, M.; Owuor, J.O.; Othieno, C.O.; Munyampundu, A.; Muasya, R.M. & Woomer, P.L.

Résumé

La bonne utilisation de résidus des cultures disponibles est une composante importante de la gestion intégrée des éléments nutritifs. Une étude en champs a été conduite pendant deux saisons (1997 et 1998) au Kenya pour examiner l’utilisation de la paille de blé, les fanes de soja et l’engrais azoté comme intrants pour la production du maïs (Zea mays L.). Les intrants organiques étaient appliqués à un taux de 2 t ha-1 par saison et l’urée était ajoutée à des taux de 0, 20, 40, 80 et 100 kg N ha -1 dans une structure de traitement factoriel incomplet qui comprenait aussi un contrôle complet (pas d’intrant) et 80 kg N comme urée sans intrant organique. Le rendement en grains du maïs variait entre 751 et 6856 kg ha-1, le plus faible rendement était observé dans le traitement ayant reçu la paille de blé seule et les plus haut rendements étaient associés avec l’incorporation des résidus de soja durant la seconde saison pluvieuse. La culture de la saison 1998 a bénéficie des pluies favorables aboutissant à une augmentation de rendement en grains de 141% plus que le traitement témoin résultant de la combinaison de 2 t ha-1 de fanes de soja et de 100 kg N ha-1 d’urée. Les rendements générallement élevés obtenus à partir des fanes de soja sont expliqués en termes de qualité, de décomposition plus rapide et de libération des éléments nutritifs en comparaison de la pauvre qualité de la paille de blé. Un effet positif dans l’augmentation du pH du sol, de l’état du C, N et P résultant de l’utilisation cumulative des résidus des cultures a été observé. Des rendements élevés étaient obtenus quand les intrants organiques, et inorganiques étaient appliqués aux sols, en particulier quant l’humidité du sol était adéquate et les intrants organiques élevés en éléments minéralisables. Des indications précoces des bénéfices additionels à long-terme via l’amélioration de la qualité du sol ont été aussi mésurées. Ces résultats suggèrent que la meilleure utilisation peut etre faite des résidus de cultures plus que le brélage après recolte comme il est présentement pratiqué par la majorité des agriculteurs dans cette région ouest du Kenya.

Mots Clés
Résidus de culture, hautes terres de l’Afrique de l’Est, gestion intégrée des éléments nutritifs, systèmes de cultures des petits fermiers, fertilité du sol, urée

 
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