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African Crop Science Journal
African Crop Science Society
ISSN: 1021-9730
EISSN: 1021-9730
Vol. 7, No. 4, 1999, pp. 613-623
Bioline Code: cs99053
Full paper language: English
Document type: Research Article
Document available free of charge

African Crop Science Journal, Vol. 7, No. 4, 1999, pp. 613-623

 en Cultural Practices and Production Constraints in Smallholder Banana-Based Cropping Systems of Uganda's Lake Victoria Basin
Tenywa, M.M.; Isabiryel, M.I.; Lal, R.; Lufafa, A. & Achan, P.

Abstract

Identification of environmentally-sound options for agricultural resource management is necessary to obtain food security for smallhold farming communities in Uganda. Qualitative and quantitative appraisals were conducted in Bukoto county, Masaka district to assess the socioeconomic and biophysical status of the banana and coffee farming system. Three main hypotheses were tested: the banana-coffee system is relatively static; the farmers production and socioecological goals are constrained by socioeconomic and biophysical factors; and that the system consists of interacting components. In order to test these hypotheses a participatory rural appraisal (PRA) was conducted, followed by a systematic land resource evaluation and structured household interviews . The study revealed significant changes in the system in terms of major activities, nature and status of resources and constraints encountered in pursuit of production goals. Although coffee is still an important cash crop and banana an important food crop, other income-generating activities (e.g. growing of beans, cassava and vegetables, brick-making, local retailing) have gained significant importance among farm households. In order of importance, coffee ranks first followed by beans and bananas, respectively. The notable loss in status by banana to the third position was attributed to several factors including nutrient depletion (ettaka likadiye), unreliable rainfall and increased infestation of pests and diseases. Over the years, low banana yields have been increasingly compensated by expansion of production area rather than unit productivity. There is a general consensus among the farmers that the soils are no longer productive due to continuous cultivation and soil erosion and this was confirmed by the notable decrement in soil quality. pH, CEC, P and K in top soil (0-20 cm) decreased from 5.1, 13.4 cmol kg-1, 9.7 mg kg-1 and 0.2 mg kg-1 to 4.7, 6.09 cmol kg-1, 1.38 mg kg-1 and 0.07 mg kg-1, respectively. The cause of continuous cultivation is a high population pressure that creates land fragmentation while soil erosion is attributed to persistent failure by farmers to adopt soil and water conservation practices. All the farmers visited were aware of the importance of soil and water conservation (mulching, contour bunds, diversion channels, soak pits and agroforestry) but were constrained by labour, time and insufficient supply of inputs (e.g., mulch materials). There must be soil fertility status improvement, erosion control, integrated pest management (IPM) and stabilisation of soil moisture status for sustainable agricultural productivity to meet the demands of the increasing population.

Keywords
Agricultural intensification, coping mechanisms, soil erodibility, soil erosion, soil and water conservation practices, PRA

 
 fr
Tenywa, M.M.; Isabiryel, M.I.; Lal, R.; Lufafa, A. & Achan, P.

Résumé

L’identification des options qui protègent l’environnement dans la gestion des resources agricoles est nécéssaire pour atteindre la sécurité alimentaire des communautés des petits ménages agricoles en Uganda. Des évaluations qualitatives et quantitatives ont été conduites au département de Bukoto, district Masaka pour évaluer la situation biophysique et socio économique du système agricole banane et café. Trois principales hypothèses ont été testées: Le système banana-café est relativement statique; les productions des agriculteurs sont limitées par les facteurs biophysiques et économiques; et le système consiste des composantes interactives. En vue de tester ces hypothèses une évaluation rurale participative (ERP) a été conduite suivie d’une évaluation systématique des resources de terre et des interviews structurés des ménages. L’étude a révélé des changements significatifs dans le système en terme de principales activités, la nature et l’état de resources sur les contraintes rencontrées dans la poursuite des objectifs. Bien que le café est encore une importante culture de revenu et la banane une importante source alimentaire, d’autes activités génératrices de revenus (e.g. la culture du haricot, manioc et légumes, faire des briques, la vente locale en détail) ont atteint d’importances significatives parmi les activités ménagères de la ferme. Dans l’ordre d’importance, le café vient en première position suivie des haricots et de la banane respectivement. La perte notable de la situation par la banane à la troisième position a été attribuée aux multiples facteurs dont l’épuisement en éléments nutritifs (etaka likadiye), des pluies rares et accumulation des maladies et pestes. Au cours des années, les faibles productions de la banane ont été de plus en plus compensées par l’expansion de la superfice de production plutôt que par la productivité par unité. Il ya un compremis général des les agriculteurs que les terres ne sont plus productives suite à une culture continue et à l’érosion du sol et ceci a été confirmé par la diminution de la qualité du sol. pH, CEC, P et K dans la partie supérieure du sol (0-20cm) ont diminué de 5.1, 13.4 cmol kg-1, 9.7 mg kg-1 et 0.2 mg kg-1 à 4.7, 6.09 cmol kg-1, 1.38 mg kg-1 et 0.07 mg kg-1, respectivement. La cause de la culture continue est la démographie galopante qui cause une fragmentation des terres alors que l’érosion est attribuée à la non-adoption des techniques de conservation de l’eau et du sol. Tous les agriculteurs connaissaient l’importance de la conservation de l’eau et de la terre (paillage, les terraces, agroforestrie) mais ont des contraintes du travail, temps et l’approvisionnement insuffisant des intrants (ex. materiel de paillage). Il doit y avoir un état d’amélioration de la fertilité du sol, contrôle d’érosion, la gestion intégrée de pestes (IPM) et la stabilisation de l’humidité du sol pour une productivité agricole soutenue pour faire face aux demandes d’une population croissante.

Mots Clés
Intensification agricole, mécanismes chaperon, érodibilité du sol, ERP

 
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