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African Journal of Reproductive Health
Women's Health and Action Research Centre
ISSN: 1118-4841
Vol. 25, No. 2, 2021, pp. 17-27
Bioline Code: rh21026
Full paper language: English
Document type: Research Article
Document available free of charge

African Journal of Reproductive Health, Vol. 25, No. 2, 2021, pp. 17-27

 fr
MacQuarrie, Kerry LD & Mallick, Lindsay

Résumé

La violence exercée par les partenaires intimes (VPI) peut interférer avec l’utilisation de la contraception par les femmes. Cette étude a analysé la VPI et l’interruption de la contraception parmi les besoins non satisfaits en matière de planification familiale (DWSIN) à l'aide des données détaillées du calendrier contraceptif de l'enquête démographique et de santé au Kenya de 2014 et des mesures de l'expérience de la VPI au cours de la même période d'observation de 12 mois. À l'aide d'une analyse de régression multivariée, elle a examiné trois formes de violence séparément—violence émotionnelle, physique, et sexuelle—et toutes VPIs combinées parmi 1 437 femmes mariées âgées de 15 à 49 ans qui utilisaient une méthode contraceptive douze mois avant l'entrevue. Le DWSIN variait selon la forme de violence évaluée. La violence émotionnelle (rapport de cotes (OR) = 2,13, p <0,01) et toutes VPI (OR = 1,88, p <0,05) étaient fortement et positivement associées à des chances plus élevées de DWSIN. La violence sexuelle était faiblement associée à une chance plus élevée de DWSIN, alors qu'il n'y avait aucune association détectée avec la violence physique. L'intégration de l’évaluation pour VPI dans les conseils autour de la planification familiale peut réduire le DWSIN et aider les femmes à réaliser leurs aspirations reproductives. (Afr J Reprod Health 2021; 25[2]: 17-27).

Mots Clés
Contraception; arrêt; violence entre partenaires intimes; Kenya

 
 en Intimate partner violence and contraceptive discontinuation in Kenya
MacQuarrie, Kerry LD & Mallick, Lindsay

Abstract

Intimate partner violence (IPV) may interfere with women’s contraceptive use. This study analyzed IPV and discontinuation while still in need (DWSIN) using detailed contraceptive calendar data from the 2014 Kenya Demographic and Health Survey and measures of IPV experience in the same 12-month observation period. Using multivariable regression analysis, it examined three forms of violence separately—emotional, physical, and sexual violence—and any IPV combined among 1,437 married women age 15-49 who were using a contraceptive method twelve months prior to the interview. DWSIN varied with the form of violence assessed. Emotional violence (odds ratio (OR) = 2.13, p<0.01) and any IPV (OR=1.88, p<0.05) were strongly, positively associated with higher odds of DWSIN. Sexual violence was weakly associated with higher odds of DWSIN, while there was no detected association with physical violence. Integrating IPV screening into family planning counseling may reduce DWSIN and support women to achieve their reproductive aspirations. (Afr J Reprod Health 2021; 25[2]: 17-27).

Keywords
Contraception; discontinuation; intimate partner violence; Kenya

 
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