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Reports from
Union of African Population Studies / L'Union pour l'Etude de la Population Africaine

Num. 17, 1995
L'essor industriel au Mali

Union for African Population Studies, Rapport de Synthese / Summary Report, Numéro/Number 17, Nov. 1995

Programme de petites subventions pour la recherche en population et developpement

L'ESSOR INDUSTRIEL AU MALI : LA PROBLEMATIQUE DES DECHETS DE LA ZONE INDUSTRIELLE DE BAMAKO

Mahalmoudou HAMADOUN

Chercheur à l'ISFRA, Bamako - MALI

ETUDE REALISEE DANS LA CADRE DU PROGRAMME DE PETITES SUBVENTIONS POUR LA RECHERCHE EN POPULATION ET DEVELOPPEMENT FINANCE PAR LE CRDI, LA FONDATION ROCKEFELLER, LA FONDATION MAC ARTHUR, LA SAREC ET LE MINISTERE FRANCAIS DE LA COOPERATION

Code Number: uaps95017

TABLE DES MATIERES

Résumé
Introduction et problématique
Objectifs
Méthodologie
Cadre conceptuel
Résultats
Caractéristiques de la ZIB
Les déchets au niveau des industriels
Les déchets dans les ménages
Impact des déchets sur les hommes et l'environnement
Recommandations
Conclusion
Bibliographie
Annexe (Tableau 1 à 4)

RESUME

L'étude a été menée dans la zone industrielle de Bamako, un des quartiers les plus touchés par l'insalubrité et la dégradation de l'environnement. En effet à partir de l'indépendance du pays en 1960, avec les mouvements de populations que Bamako a connus, diverses causes ont entraîné des perturbations dans les systèmes traditionnels de gestion de l'environnement les procédés en vigueur ont été rendus caduque, et ont mis en exergue l'insuffisance des moyens disponibles. Il faut donc trouver les moyens d'aider ces populations et les décideurs à mieux gérer cet espace, qui est le pilier de l'économie malienne.

Les objectifs de cette étude sont d'identifier les acteurs économiques opérant dans la zone industrielle de Bamako, de décrire dans les détails leur comportement sur le milieu, de faire une estimation des déchets produits, leurs modes de collecte et d'évacuation et d'évaluer l'impact de ces déchets sur l'environnement.

Les résultats de cette étude font ressortir les constats suivants: en plus des entreprises industrielles, d'autres acteurs économiques (garagistes, bouviers, teinturiers et maraîchers) interviennent sur l'espace, auxquels s'ajoutent les habitats résidentiels. La production des déchets aussi bien au niveau des industries que des ménages est influencée par plusieurs facteurs internes et externes. Les actions de collecte, d'évacuation et de traitements sont également influencées par des facteurs comme l'insuffisance et l'inadaptation des infrastructures. L'impact des déchets sur les hommes et l'environnement est une réalité reconnue par tous ces acteurs, même si les actions entreprises n'ont pas permis de vaincre le mal.

L'étude préconise le renforcement des infrastructures et des structures de collecte des déchets ainsi que l'adoption d'une véritable politique de gestion de l'environnement, de formation et de sensibilisation des populations.

I. - INTRODUCTION ET PROBLEMATIQUE

A partir de 1960, date qui marque l'accès du pays à l'indépendance, le Mali a connu plusieurs types d'industries légères, allant de l'alimentation aux textiles en passant par les industries chimiques, de matériaux de construction ainsi que l'énergie mécanique. Ces établissements se répartissent juridiquement en trois secteurs : étatique (34), mixte (36) et privés (116) soit 186 au total en 1988. Par ailleurs, plus de 6,8% des infrastructures sont localisées dans la seule capitale Bamako, dont la presque totalité dans la zone industrielle en Commune II.

Certes au début, la faiblesse des réalisations ne permettait pas de présager de l'ampleur de l'impact ou de la dégradation de l'environnement et des conditions de vie des populations riveraines. Mais après 32 ans de vie industrielle nationale, les constats sont très amers et se traduisent par :

- une très grande insalubrité de la zone industrielle de Bamako, qui ploît non seulement sous le poids des déchets industriels, mais aussi sous celui des ordures ménagères et des eaux pluviales en saison des pluies ;

- des déchets dont la collecte pose d'énormes difficultés à cause de leur nature diverse (solide, liquide et gazeuse), de l'insuffisance, voire de l'inexistence de voiries et des réseaux de collecte appropriés, de l'inorganisation de la collecte, du manque de matériels adéquats et de personnel suffisant, et enfin d'une mauvaise gestion des structures impliquées ce qui aggrave la situation.

En outre, l'extension dans la zone industrielle des habitats résidentiels, surtout les habitats précaires, pose des problèmes si sérieux qu'il n'est pas exagéré de se demander si cette zone est véritablement destinée à l'industrie ou à la résidence. Le tout est aggravé par l'existence de rues non aménagées, de mares en saison des pluies et de dépotoirs de déchets banals à coté desquels des "cimetières" de vieilles voitures et des garages poussent partout. L'implantation du parc à bétail ainsi que l'installation des maraîchers tout au long des rails, compliquent davantage la dynamique de l'occupation de l'espace et en font une véritable zone rurale en plein centre urbain.

II. - OBJECTIFS

Les objectifs que nous assignons à cette étude sont les suivants:

  • contribuer à la connaissance des problèmes d'environnement à Bamako et particulièrement dans la zone industrielle;
  • fournir aux décideurs des bases objectives de décisions ;
  • faire un diagnostic complet de cette zone dans son aspect environnemental, donner une description détaillé du comportement des acteurs opérant dans la ZIB (résidents, industriels, garagistes, bouviers, maraîchers etc.) sur les plans de la gestion et de la protection de l'environnement et
  • évaluer l'impact des déchets sur les hommes et leur milieu.

III. - METHODOLOGIE

Au plan de la méthodologie, cette étude est passé par trois phases :

  • la phase préalable qui a permis de faire une première typologie de la zone industrielle à partir de la synthèse des documents lus et des résultats de l'observation du terrain ;
  • la deuxième phase qui a consisté à recueillir les données a permis de faire l'échantillonnage à partir du diagnostic préliminaire, et de préparer les questionnaires d'enquête. Nous avons ensuite procédé à la formation des enquêteurs, au test des questionnaires et à la réalisation de l'enquête (Mai, Juin, Juillet 1993).

Pour l'enquête proprement dite, le recueil des informations s'est fait à l'aide de questionnaires suivis de guide d'entretien ou de remplissage, dont les uns ont été directement enregistrés (ménages, maraîchers, teinturières) et les autres par correspondance (industriels).

Quatre types de questionnaires ont été élaborés :

  • un questionnaire pour les ménages ;
  • un questionnaire pour les maraîchers ;
  • un questionnaire pour les teinturières ;
  • un questionnaire pour les industriels.

Les types d'informations recueillies se répartissent comme suit:

  • les industriels : identification, production, collecte et traitement des déchets, perception de l'environnement ;
  • les ménages : identification et caractérisations portant sur le ménage, son chef et les autres membres; production et collecte des déchets ; nuisances industrielles et perception de l'environnement ;
  • les maraîchers : identification, impact de l'activité industrielle sur le maraîchage, contraintes subies dans la zone, cohabitation activités industrielles et maraîchage ;
  • les teinturières : identification, produits utilisés (nature, quantité), production d'eaux usées, lieux d'évacuation et mode de traitement, impact des produits sur les hommes et le milieu.

Concernant la procédure de collecte des informations, deux techniques ont été adoptées :

  • l'enregistrement direct à l'aide de questionnaires (questions-réponses) et un guide de remplissage pour les ménages, les maraîchers et les teinturières ;
  • la collecte par correspondance ou dépôt à l'aide de questionnaire suivi de guide de remplissage et d'une lettre d'information ;

Dans l'ensemble, le niveau des réponses fut très satisfaisant.

La troisième phase a consisté à l'exploitation des données par les actions suivantes :

  • mise en ordre des informations recueillies pendant l'enquête (Août 1993) ;
  • l'analyse des données (à la fois qualitative et quantitative) ;
  • exploitation et synthèse des informations dont le traitement des données et la sortie des tableaux (août, septembre, octobre 1993) ;
  • rédaction et production du Rapport d'étape (novembre - décembre 1993) ;
  • rédaction et production du Rapport préliminaire en mai 1994 ;
  • rédaction et production du rapport final (Juillet 1995).

IV. - CADRE CONCEPTUEL

Cette étude repose sur deux conceptions :

  • la théorie des décisions telle qu'elle est élaborée par le béhaviorisme stipule que le comportement des hommes et leurs attitudes dans leur milieu sont guidés par leur fonds culturel, à partir duquel, ils se font une image de leur environnement, qui détermine leur comportement vis à vis de ce dernier ou de leur espace personnel.

Dans la zone industrielle de Bamako, la pratique du maraîchage ou l'élevage du bétail ou même les modes d'évacuation des déchets constituent autant de pratiques rurales transposées en ville avec les migrations des populations. Ces dernières se déplacent avec leurs us et coutumes et en font usage dans leurs tentatives quotidiennes de satisfaire leurs besoins économiques. Les pratiques économiques de ces populations sont indissociables de leurs fonds ethno-socio-culturels.

Dans leurs activités quotidiennes, les hommes ne sont pas mus que par leur propre rationalité ou des considérations économiques. Autrement dit, les actions humaines ne sont pas le seul résultat de facteurs objectifs. Des facteurs subjectifs y interviennent également.

  • la théorie des systèmes qui stipule que les actions portées sur l'espace naturel apportent toujours de nouvelles variables qui perturbent et modifient l'espace de départ. C'est dire que, les acteurs économiques qui opèrent sur l'espace y créent un interface où ils s'affrontent sans s'exclure, et dans leurs tentatives de satisfaire leurs besoins ils perturbent et modifient l'espace (création de déchets, dégradation de l'environnement).

Ces deux théories nous permettent de comprendre le comportement des hommes, leurs attitudes et les raisons qui commandent leurs actions sur leur milieu de vie. Pour mieux cerner les actions humaines et leurs impacts, il faut comprendre non seulement les facteurs objectifs (économiques), mais aussi subjectifs (fonds socio-culturel).

V. - RESULTATS

1. - Caractéristiques de la Zone industrielle

La Zone industrielle de Bamako, comme tous les autres quartiers spontanés, absorbe une grande partie de la population flottante du District. Plusieurs groupes ethniques y vivent dans des ménages comportant une moyenne de 6 enfants. Ainsi, contrairement à sa vocation initiale, ce quartier est un véritable creuset d'ethnies et d'activités diverses où chaque groupe d'acteurs économiques cherche a s'imposer et par conséquent contribue à sa façon à la dégradation de l'environnement. Les déchets produits dans la zone industrielle de Bamako ne sont pas le seul fait des industriels. D'autres acteurs en produisent également.

Les infrastructures de collecte et d'évacuation des déchets dans cette zone font énormément défaut. La situation est la même dans les ménages (manque de puisards, de latrines, de fosses sceptiques etc.), la gestion des déchets dans la zone industrielle de Bamako n'en est que plus compliquée.

2. - Les déchets au niveau des industriels

Les entreprises industrielles implantées dans la zone sont très diverses. Les productions de déchets, la collecte, le traitement et les modes d'évacuation des déchets varient également d'une entreprise à une autre.

Pour les déchets solides, les entreprises industrielles fournissent 10,5 % de la production du District. Ainsi l'étude a révélé que les entreprises agro-pastorales (Abattoir frigorifique), les industries de construction mécanique et vitrerie, les imprimeries, les entreprises alimentaires et de bois demeurent les plus grands producteurs de déchets solides.

Les déchets liquides sont cependant les plus polluants et les plus inquiétants dans la zone. Les entreprises alimentaires, les industries agro-pastorales et de cuir, les usines de chimie, para-chimie et produits pharmaceutiques et les dépôts d'hydrocarbures sont les industries qui émettent la quasi totalité des déchets polluant le fleuve et les eaux souterraines de la zone. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle, aujourd'hui, tous les puits de la zone industrielle sont infectés.

Toutefois, la production de déchets dans ces entreprises est fonction de plusieurs facteurs, dont celui de la "nature des entreprises", est sans doute le plus important.

Pour la collecte, le traitement et l'évacuation des déchets, les entreprises étudiées ont certes fait beaucoup d'efforts, mais la fréquence d'enlèvement est très irrégulière. Elle varie selon les entreprises. Elle peut être journalière, hebdomadaire, mensuelle et même annuelle dans certaines entreprises. Concernant le traitement des déchets, très peu d'entreprises traitent leurs déchets (18,75 % pour les déchets solides et 45% pour les déchets liquides). L'incinération et le triage pour les déchets solides et la décantation et l'épuration pour les déchets liquides sont les principales méthodes utilisées dans la zone industrielle.

Le comportement des entrepreneurs industriels face à l'environnement est guidé par des raisons à la fois objectives et subjectives :

  • leur volonté de réduire les charges récurrentes liées à la gestion des déchets ;
  • Le non respect des lois environnementales et des normes d'installation et de fonctionnement de ces entreprises (avec comme objectifs de fonds des raisons financières).

3. - Les déchets dans les ménages

Dans les ménages, la production de déchets est très importante. Selon nos estimations, chaque ménage produit en moyenne 2,4 tonnes de déchets solides et 3 m3 de déchets liquides par an. Les déchets solides sont essentiellement constitués de cendre, sable, poussière, de restes de cuisine et de feuilles, pailles, bois.

Pour la collecte des déchets, l'étude a révélé que 87 % des ménages enquêtés possèdent des poubelles et 62,5% des fosses sceptiques. L'évacuation des déchets solides est journalière pour 80% des ménages et hebdomadaire pour les 22% autres, mais 35% seulement utilisent les dépotoirs officiels créés par la DSUVA. Des facteurs tels que la durée de résidence, les modes d'hébergement, le niveau d'instruction des femmes, la situation matrimoniale des chefs de ménage et la taille des ménages influencent beaucoup le comportement de ces ménages vis à vis de leur environnement, mais n'expliquent pas tout. Certains comportements adoptés par ces populations ne peuvent être expliqués que par leurs fonds ethno-socio-culturels.

4. - Impacts des déchets sur les hommes et l'environnement

L'impact des déchets sur les hommes et l'environnement est très visible dans la zone industrielle de Bamako. Les déchets industriels sont certes les plus nocifs, mais les déchets ménagers ne sont pas non plus sans dangers. Ainsi, pour de nombreuses maladies enregistrées dans les formations sanitaires du District, la zone industrielle de Bamako se classe en première position ou tout au moins dans les cinq premiers.

En plus de la pollution de l'air et des eaux, ces déchets ont des effets nocifs sur la végétation. A cause des ordures ménagères qui s'entassent dans les rues, les moustiques, mouches et autres bêtes nuisibles prolifèrent.

Cette insalubrité n'échappe pas aux différents acteurs économiques agissant dans la zone industrielle, qui reconnaissent malgré tout leur responsabilité dans cette insalubrité. Ce qui ne les empêche pas cependant, d'interpeller l'Etat malien et en particulier les autorités chargées de la gestion de l'environnement à qui ils reprochent le manque d'infrastructures de collecte et d'évacuation des déchets.

Pour ce qui concerne les autres acteurs qui dégradent l'environnement comme les maraîchers, teinturiers, garagistes et bouviers, les premiers ne se sentent pas responsables de l'insalubrité de la zone. Les seconds quant à eux n'ignorent pas les effets nocifs des produits qu'ils manipulent (soude caustique surtout). Les garagistes et les bouviers perçoivent également l'état d'insalubrité de la zone, même s'ils n'ont entrepris aucune action de protection de l'environnement.

5. - Recommandations

L'étude recommande :

  • de renforcer les infrastructures de collecte des déchets en multipliant les dépotoirs autorisés en vue de les rapprocher des usagers, ainsi que les caniveaux de collecte des eaux usées. Il faut également redynamiser les structures de gestion de l'environnement et coordonner leurs actions qui sont très souvent disparates ;
  • d'adopter une réelle politique de gestion de l'environnement, de formation et de sensibilisation des populations. Cela suppose que l'état donne aux structures impliquées, les moyens de leurs actions en vue de faire respecter les lois environnementales. Par ailleurs, il est nécessaire aujourd'hui de décongestionner la zone industrielle en redéployant les entreprises les plus nocives vers de nouveaux sites.

Pour ce qui concerne les populations, il faut surtout les sensibiliser, les informer et les former au respect de l'environnement. Aider à la création et à la promotion des structures privées de gestion des déchets, GIE, ONG et autres associations à but non lucratif opérant dans le domaine de l'environnement.

6. - Conclusion

Dans la zone Industrielle de Bamako, les déchets ne proviennent pas seulement des entreprises industrielles. Les ménages et autres acteurs économiques opérant dans la zone produisent eux aussi des déchets et contribuent à la dégradation de l'environnement. Cependant, les industriels sont les plus indexés dans la zone et les plus gros producteurs de déchets.

Dans l'ensemble, la production de déchets et le comportement des acteurs économiques face à l'environnement dans la zone industrielle dépendent de plusieurs facteurs notamment, économiques (au niveau des industriels en vue de minimiser les charges récurrentes liées au traitement et à l'évacuation des déchets) et subjectifs (facteurs socio-culturels des ménages vivant la zone).

Des efforts ont été certes fournis par les acteurs économiques opérant dans la zone sans pour autant venir à bout de l'insalubrité. L'état à travers ses structures techniques tente également de maîtriser le phénomène d'insalubrité dans la zone, mais la production de déchets dépasse de loin les capacités de collecte et d'évacuation des déchets des services qui en ont la charge. Par ailleurs, il n'y a pas de politique urbaine cohérente, capable de mobiliser judicieusement les moyens financiers, matériels et humains nécessaires pour une bonne politique environnementale. Une collaboration entre l'Etat et les autres structures privées ou bénévoles de gestion de l'Environnement (GIE, ONG, Associations) est plus que nécessaire pour venir à bout de l'insécurité dans le District de Bamako.

Il faut amener les industriels à respecter l'environnement et les normes d'installation et de fonctionnement des entreprises. Quant aux populations, la bataille pour la protection de l'environnement ne peut être gagnée sans le changement de leurs comportements, car les facteurs socio-culturels interviennent fortement dans la gestion environnementale de ces populations.

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ANNEXE
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