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African Journal of Reproductive Health
Women's Health and Action Research Centre
ISSN: 1118-4841
Vol. 9, No. 1, 2005, pp. 16-23
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Bioline Code: rh05004
Full paper language: English
Document type: Research Article
Document available free of charge
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African Journal of Reproductive Health, Vol. 9, No. 1, 2005, pp. 16-23
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Review Article- Contraceptive Implants
OA Ladipo and SA Akinso
Abstract
In response to the need of some women for long-acting, effective and safe contraceptives, the scientific community developed non-biodegradable progestational subdermal implants that act by making the cervical mucus viscous, with ovulation inhibition and thinning of the endometrial lining. The contraceptive protection is within 24 hours and the cumulative failure rate is low. Contraceptive implants require little or no motivation following adequate counselling. In current use are multirod implants (Norplant I and Norplant II Jadelle) and single rod implant (Implanon and Uniplant). Although menstrual symptoms associated with progestational regimens are the major compliance and acceptability factors within the first year of use, menstrual disturbance generally improves. Continuation rates for implant use are high among those who have had adequate pre-insertion counselling because the perceived advantages greatly outweigh the nuisance effects. Other side effects of implants are similar to those observed with hormonal pills - headache, weight changes, mood swings and abdominal bloating. Training of physicians and nurses in the art of insertion and removal techniques is a pre-requisite for a successful implant programme. This should also be backed by integration of implants into the national commodity logistics systems to ensure adequate local budgetary provision for contraceptive implant procurement rather than reliance on donor supply. (Afr J Reprod Health 2005; 9[1]: 16-23)
Keywords
Contraception, implant, counselling, insertion, removal
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OA Ladipo and SA Akinso
Résumé
Les implants contraceptifs. En réponse au besoin des femmes des contraceptifs à longue durée d'action, efficace et sans danger, la communauté scientifique a produit des implants sous-dermiques progestatifs qui ne sont pas biodégradables et qui agissent par rendre visqueux les mucosités cervicales, avec la mise au repos de l'ovaire et l'amincissements de la muqueuse andométriale. La protection contraceptive dure pendant 24 heures et le taux d'échec cumulatif est faible. Les implants contraceptifs n'ont besoin que de très peu de motivation ou aucune si l'on suit assez de conseil. Les implants multi-bacilles sont utilisés actuellement (Norplant II et Norplant II Jadelle) et ainsi que les implants mono-bacilles (Implanon et Uniplant). Quoique les symptômes menstruels liés aux schémas progestatifs constituent les facteurs majeurs de conformité et d'acceptablilité au cours de la première année d'utilisation, le désordre menstruel s'améliore en général. Les taux de continuation de l'utilisation de l'implant sont élevés chez ceux qui ont eu de conseil approprié de pré-insertion parce que les avantages perçu l'emportent sur les effets embêtants. Les autres effets secondaires des implants sont semblables à ceux des pilules hormonales - maux de tête, modifications dans le poids, sautes d'humeur et la distension gazeuse abdominale. La formation des médecins et des infirmières dans la technidque de l'insertion et de l'enlèvement est une condition préalable pour assurer un programme d'implant réussi. Ceci devait être soutenu par l'intégration des implants dans les systèmes de la matière première nationale pour assurer la disponibilité d'un budget national adéquat pour l'achat de l'implant contraceptif pultôt que de dépendre des provisions de la part des donateurs. (Rev Afr Santé Reprod 2005; 9[1]: 16-23)
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