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The Reach and Limits of the US President’s Emergency Plan for Aids Relief (PEPFAR) Funding of Prevention of Mother-to-Child Transmission (PMTCT) of HIV in Nigeria Ezegbe, Chigozie & Stephenson, Niamh Abstract WHO advocates the use of comprehensive 4-pronged strategy for PMTCT of HIV. It includes HIV prevention, preventing unintended pregnancies in HIV positive women and follows up treatment and support as well as therapeutic interventions around delivery. This study examines PEPFAR’s funding of Nigerian PMTCT, via an analysis of the funded activities of 396 agencies PEPFAR funds to do PMTCT. PEPFAR Sub-partners selected for this study were included because they were funded to do therapeutic intervention around delivery, but significant gaps were identified regarding the other 3 prongs advocated by WHO. Up to 70% were not funded to do any primary prevention. PEPFAR’s own reporting does not allow assessment of Sub-partner involvement in preventing unintended pregnancies. Regarding follow up treatment and care, some Sub-partners were not funded at all. PEPFAR is not supporting a comprehensive approach to PMTCT in the way it funds PMTCT in Nigeria (Afr J Reprod Health 2012; 16[1]:23-34). Keywords HIV, PMTCT, Prevention, PEPFAR, Nigeria

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La portée et les limites du plan d’urgence du Président américain à l’égard du financement des secours au SIDA (PUPFSS) pour la prévention de la Transmission du VIH de la mère à l’enfant (PTME) au Nigéria Ezegbe, Chigozie & Stephenson, Niamh Résumé L’OMS préconise l’utilisation d’une stratégie compréhensive à quatre fronts pour la PTME du VIH. Elle comprend la prévention du VIH, la prévention des grossesses non-voulues chez les femmes séropositives, le traitement en postcure et d’appui aussi bien que les interventions thérapeutiques autour de l’accouchement. Cette étude examine le financement de la PTME du Nigéria par le PUPFSS à travers une analyse des activités financées auprès des agences financées, elles aussi, par PUPFSS pour réaliser la PTME. Les sous-partenaires du PUPFSS sélectionnés pour cette étude, ont été inclus parce qu’ils étaient financés pour réaliser des interventions thérapeutiques autour de l’accouchement, mais on a identifié d’importants trous à propos des trois autres fronts préconisés par l’OMS. Jusqu’à 70% n’ont pas été financés pour réaliser une prévention primaire. Le reportage par le PUPFSS ne permet pas d’évaluer la participation des sous-partenaires dans la prévention des grossesses non-voulues. En ce qui concerne le traitement en postcure et au soin, certains sous-partenaires n’ont pas été du tout financés. Le PUPFSS ne soutient pas une approche compréhensive à la PTME dans la manière dont il finance la PTME au Nigéria (Afr J Reprod Health 2012; 16[1]:23-34).

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